Décès de monsieur Jean-Pierre JACQUET.
Jean-Pierre Jacquet : Un homme de cœur, dévoué à sa famille et à ses amis.
C’est avec une profonde tristesse que nous apprenons le décès de Jean-Pierre Jacquet, survenu le 23 novembre 2024. Figure emblématique de Dun-sur-Meuse pendant de nombreuses années, il a marqué de son empreinte la vie de tous ceux qui l’ont côtoyé.
Né le 09 octobre à Inor, Jean-Pierre Jacquet a passé une grande partie de sa vie à Dun-sur-Meuse, où il a fondé un foyer avec son épouse. Ensemble, ils ont élevé leurs deux filles, qui leur ont donné quatre merveilleux petits-enfants et cinq arrière-petits-enfants, source de joie et de fierté pour le couple.
Cuisinier à la base de Marville au Mess des officiers, "chez les Canadiens" jusqu'à leur départ en 1966, c'est à la papeterie de Stenay qu'il travailla comme laborantin et contrôleur jusqu'à l'âge de la retraite.
Homme simple et modeste, Jean-Pierre Jacquet était apprécié de tous pour sa joie de vivre et sa bonne humeur. Serviable et attentionné, il était toujours prêt à rendre service à ses proches. Passionné de pêche, il trouvait un immense plaisir à passer du temps au bord de l'eau, canne à la main. Les soirées tarots avec ses amis étaient également un moment privilégié où il aimait partager des instants de convivialité.
Pendant quatorze années, il a assumé avec dévouement la présidence des anciens d’AFN de Dun-sur-Meuse, s’impliquant sans compter pour maintenir les liens entre les membres de l’association.
Même après avoir quitté Dun-sur-Meuse pour se rapprocher de Verdun, il a continué à présider l’association jusqu’en 2021, date à laquelle il a passé le flambeau à M. Jean Canevet. Son engagement sans faille pour les anciens combattants et les valeurs qu’ils défendaient était un exemple pour tous.
Jean-Pierre Jacquet laisse un grand vide dans le cœur de sa famille, de ses amis et de tous ceux qui l’ont connu. Nous adressons nos sincères condoléances à son épouse et à l’ensemble de sa famille, en leur témoignant toute notre sympathie en ces moments difficiles.
Jacquet Julien, à mon frère.